La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son gagne-pain dans l’ombre tamisée de son usine. Son poste de travail à tisser, fidèle animal domestique de ses prédictions silencieuses, laissait glisser des fils d’or et de soie entre ses doigts. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, https://israelrsqmi.blog2news.com/34411199/les-fils-du-sort