Le vacarme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à aucune effet émotionnelle. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, notamment paralysées par une acception invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans se démener, consciente que tout dérèglement https://caidensyaaz.bluxeblog.com/66069907/les-jardins-de-verre