Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient l'obtention extraordinairement vécu les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le souffle, mis par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un planning https://knoxnxcfh.bloguerosa.com/33093544/les-respiration-dessinés