Le destin, à l’aube, Nina se leva plus tôt encore. La ville flottait dans un vacarme dense, interrompu rien que par le bourdonnement simple des systèmes de soins autonomes. Elle s’approcha des vitres une à une, le imagination suspendu, tels que si les prénoms allaient se construire par-dessous ses yeux. https://lorenzolsuwx.ezblogz.com/65836300/la-feu-des-sigles