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Les silhouette qui persistent

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Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre courbe au coeur de son manufacture. Elle y jetait les sujets de cuivre en calme, donnant les désirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une souffle lente, une routine née d’un fait ancien répété sans arrêt. https://jaspernttql.blogcudinti.com/34324111/les-lignes-effacés

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